Quatrième de couverture :

« J’attrape ma valise et me dirige vers ce qui était autrefois ma chambre. J’ouvre les volets : il y a le balcon, puis la mer, le Vésuve, et toute la baie. Je me retrouve face à mon enfance et à mes souvenirs. »

Luna arrive à Naples contre son gré : son père est gravement malade. Rien, ici, ne lui a manqué. Ses repères, ses amies, son amour sont désormais à Milan. Alors pourquoi revenir ? Pourquoi être au chevet de son papà, au passé trouble, et avec lequel elle a coupé les ponts ?
Mais Napoli est là, sous ses yeux : ses ruelles animées et sales, ses habitants souriants et intrusifs, sa pizza fritta, délicieuse et tellement grasse, son Vésuve, beau et menaçant…
Est-il seulement possible de trouver la paix dans une ville si contrastée ? Et si ce retour aux sources sonnait finalement l’heure de l’apaisement ?

Mon avis :

Serena Giuliano nous embarque toujours en Italie et particulièrement à Naples : on voyage encore et encore… Quel plaisir !

Luna revient à Naples, un peu contrainte, pour s’occuper de son papa hospitalisé. Elle ne l’a pas revu depuis des années suite au divorce avec sa mère, elle n’est pas revenue non plus dans cette ville. Elle s’installe dans son appartement et retrouve également sa cousine, son mari et ses petits-cousins.

Avec elle, on cherche à comprendre ce qu’il s’est passé, on se demande si le pardon est possible… Luna essaye d’avancer et de grandir face aux épreuves de la vie… Elle se construit pour devenir une femme et s’autoriser à vivre.

Ce roman parle d’amour, d’amitié, de famille…

Bonne lecture,

L.